Scooter sans permis, alliant plaisir et praticité

Un scooter sans permis permet, dès l’âge de 14 ans, d’assouvir ses besoins d’être motorisé. Pour espérer tirer un maximum de profit de ce type de véhicule, mieux vaut opter pour un scooter électrique.

Caractéristiques et législation sur les scooters sans permis

Un scooter sans permis se reconnait facilement avec ses deux petites roues, ainsi que par le plancher qui se trouve entre le guidon et le siège. Très maniables et se faufilant entre les embouteillages, ces véhicules sont très indiqués pour les courtiers, mais aussi pour les amateurs de ballade à travers les agglomérations. Son moteur est bridé à 50 km/H et sa puissance maximale n’excède pas les 4 kW. Les parents, dont les enfants en sont amateurs, peuvent être tranquilles, quant à la sécurité de ces derniers sur la route. Par ailleurs, cette petite cylindrée se doit d’être assurée. Elle doit aussi être immatriculée en préfecture. Sa conduite nécessite un port de casque, un âge minimum de 14 ans et un BSR pour les jeunes nés après le 1er janvier 1988.

Pourquoi préférer un scooter sans permis électrique ?

Un scooter sans permis électrique présente tout un lot d’avantages, comparé avec celui à moteur thermique. C’est surtout en termes d’économie que la différence s’accentue. En effet, en effectuant 100 km, la dépense d’un scooter électrique est de 20 centimes, contre 3,50 euros pour un scooter thermique. De plus, on peut recharger gratuitement la batterie d’un scooter électrique, auprès des bornes publiques. En ce qui concerne l’entretien, les propriétaires d’un scooter électrique déboursent dans les 100 euros/an. Ceux d’un scooter thermique en dépensent le double. Par ailleurs, le scooter électrique est très écologique, avec zéro émission de CO2. Il faut également noter que l’accélération se révèle meilleure sur un scooter électrique.